Archive pour le mot-clef ‘logiciels’

La conversion facile

Assez souvent on me demande si je connais un outil capable de convertir du PDF vers du Word, et la plupart du temps, je réponds que ce n’est pas fait pour et que je ne connais pas de bon logiciels dans le domaine.
Un format PDF est un format final. Qui plus est, il peut être composé d’une image de texte par exemple… Autant dire que dans ces cas là, on en fera pas grand chose.
Hier, j’ai tardivement découvert CloudConvert, et j’avoue que j’ai été assez surpris : l’idée consiste à envoyer un fichier à un serveur qui va le convertir dans un autre format. Du Word vers du PDF donc, mais aussi d’un format vidéo vers un autre, du Word vers un eBook, etc. Et la liste du « etc. » est longue.

J’ai testé la version PDF vers Word, honnêtement, la conversion n’est pas mauvaise du tout. Le PDF initial était issu de Pages, sans compatibilité à priori.

Pour les développeurs, ce truc est une mine d’or : il fonctionne aussi via des API avec un Github assez fourni, une bonne série d’exemples, et la prise en charge des principaux modes de stockage.

Le service de CloudConvert est gratuit jusqu’à 25 minutes de conversions par jour. Et la conversion d’un document PDF ne prend que quelques secondes.


Traduire un site web ou un logiciel avec PoEdit

Logo PoeditIl arrive fréquemment que l’on tombe sur un plugin ou un logiciel qui ne soit disponible que dans le langue de Shakespeare, ou du moins, qui ne soit pas disponible dans le franc gaulois que nous connaissons bien.

La méthode la plus répandue (et heu… la plus efficace ?) pour rendre un site ou une application multilingue consiste à se servir de GNU Gettext. Cet outil se sert de fichiers de traduction ayant une extension *.mo (le fichier traduit compilé). Vous les trouverez généralement dans un dossier lang, ln, lng, etc.

A partir de là, il y a 2 solutions, soit vous trouvez dans le même dossier ou dans le dossier des sources, un fichier avec une extension *.po (le projet de traduction), soit il va falloir aller farfouiller dans les sources du logiciel pour trouver les textes à traduire. Dans un cas comme dans l’autre, rien de dramatique. Lire le billet »


Partager un dossier entre 2 ordinateurs via internet

DropBoxOn a souvent besoin de partager un ou plusieurs répertoires entre différents ordinateurs. Travail à distance à plusieurs sur un même dossier, photos de famille à partager, etc.
Pour preuve, cette semaine, 2 personnes m’ont posé la même question pour 2 projets tout à fait différents.

Présentation

Ma méthode préférée consiste à passer par des dossiers synchronisés grâce à DropBox. DropBox présente différents avantages :

  • gratuit jusqu’à 2Go de données,
  • il est très simple à mettre en oeuvre,
  • il permet de partager différents répertoires avec différentes personnes,
  • il gère un historique de qui fait quoi, et surtout, il permet de revenir facilement à une version précédente,
  • il synchronise les dossier entre différents ordinateurs. Pas besoin d’avoir accès à Internet pour pouvoir travailler : les données se synchroniseront à la prochaine connexion.
  • là où DropBox fait vraiment très fort, c’est sur de gros fichiers. Si vous modifiez une partie d’un fichier un peu lourd, seule la partie modifiée sera synchronisée. Très rapide donc.
  • enfin, il est compatible avec Windows, Mac et Linux !

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Créer une clef USB bootable sous Windows

Pour promener son petit chez-soi de machine en machine ou juste pour avoir tous les petits utilitaires nécessaires à la bonne réparation d’un PC dont le système d’exploitation est en vrac, ce type de clé USB peut servir à un tas de choses : récupérer les données d’un Windows qui ne démarre plus, éradiquer un virus retif, modifier la base de registre, repartitionner un disque dur, récupérer une partition effacée, etc…

L’avantage d’une clé USB par rapport à un CD-ROM, c’est qu’il est possible de mettre les logiciels à jour, de sauvegarder des documents sur sa clef, bref, de vivre sa vie sans avoir à la recommencer à chaque fois !

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Vaincre Security Essentials 2010

Ça fait 2 fois dans la semaine que des copains m’appellent en me disant « Heuuuu… cassé ! ». À y regarder de plus près, ils ont chopé un virus pas mal foutu de la famille des rogues. Ces petites bêtes vous font croire qu’un vilain virus vous a infecté (ce qui en soit est juste du coup) afin de vous soutirer un petit numéro de carte bleue en vous incitant à mettre à jour un faux antivirus. Pendant ce temps-là, bien entendu, l’ordinateur fait une journée portes ouvertes ! On joue sur la peur, il faut aller vite, et je mettrai ma main à couper que ça doit rapporter gros.
Perso, ça m’a surtout coûté gros de temps pour réparer tout ça, mais c’est à ça que ça sert les copains non ? Et comme on dit souvent « jamais deux sans trois », cette fois, je me note la marche à suivre, qui j’en suis sûr, vous sera bien utile aussi 😉

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