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Mes extensions WordPress préférées à moi

Logo WordPressIl y a 2 ans, je quittais à regret Dotclear pour WordPress, notamment parce qu’il existe un très grand nombre de plugins et de widgets différents pour WordPress. Au final, un très grand nombre d’extensions WordPress sont développées avec les pieds, beaucoup sont désuètes d’autres ne vont pas au fond des choses, mais vaille que vaille on arrive à peu près à trouver ce que l’on veut.
Après… l’outil en lui-même est beaucoup plus lent. Mais on ne peut pas tout avoir.

Du coup, en 2 ans, j’ai testé par mal d’extensions, voici la liste de celles que je retiens : Lire le billet »


Optimiser et sécuriser son site web

Votre site est-il convenablement sécurisé ? Que se passerait-il si un virus venait à s’installer sur votre dernière création ? Combien de temps vous faudrait-il pour remettre tout ça en ordre ?

C’est en cherchant à optimiser mon site en passant par un Content Data Network (CDN) que je suis tombé en rafale sur toute une panoplie de trucs sympas et efficaces.

CloudFlareCloudflare

CloudFlare est à la base un CDN. Tout bête, il stocke vos contenus statiques sur différents serveurs un peu partout dans le monde pour que votre site s’affiche de manière efficace quel que soit le pays d’appel. J’ai déjà parlé des nombreux avantages des CDN dans un billet précédent (et je n’ai pas changé d’avis).

Pour cette première partie, CloudFlare agit de manière assez intéressante et se configure de manière totalement transparente : il vient s’intercaler au niveau des DNS. Pas de nom de domaine étranger à glisser et l’internaute ne s’aperçoit de rien, pour lui, tout se passe chez vous. CloudFlare n’apparaît jamais tant que tout se passe bien.

Si on veut optimiser un peu la chose, on placera un sous-domaine pointant sur le répertoire où sont stockés les fichiers statiques (javascript, images, CSS, etc.), cette méthode permettra de conserver la parallélisation des téléchargements côté client, sachant que les navigateurs ne téléchargent que 4 ou 5 fichiers en même temps pour un même nom de domaine, ajouter un sous-domaine permet donc théoriquement de doubler la vitesse d’affichage du site.

Mais CloudFlare ne fait pas que ça…

Un bon nombre d’options sont disponibles. Vous pourrez à souhait minifier vos éléments statiques (voire même votre html), lutter de manière efficace (puisque mutualisé) contre le spam et les attaques diverses, ou encore précharger les différentes pages de votre site (dans la version payante en revanche).
Au passage CloudFlare offre aussi la possibilité d’activer des « apps » sur son site. La dernière fois que je m’en suis servi c’était une bannière pour informer mes lecteurs sur les dangers de l’ACTA. J’avais un peu oublié la date de cette « cyber journée d’information » et CloudFlare m’a permis de participer efficacement en quelques secondes. Utile.

CodeGuardCodeGuard

J’ai cherché un moment un outil de sauvegarde simple et efficace pour un site web. Il existe un tas de solutions, mais souvent chères ou inadaptées à ce que je voulais faire. CodeGuard me convient bien. Il travaille via FTP, il passe régulièrement voir ce qui a changé sur votre site et récupère les nouveaux fichiers s’il y en a. Tout se fait automatiquement après la configuration et il est gratuit jusqu’à 2 Go de données.

Comme CloudFlare, CodeGuard ne fait pas que ça…

Ce service dispose d’une détection de changements dans les codes, ce qui permet d’être averti à la première infection d’un malware ou d’un virus. Une « TimeMachine » est aussi disponible pour naviguer dans les anciennes version du site. Bien entendu, il est possible (c’est le but ultime) de restaurer son site avant les derniers changements, ce qui peut permettre de sortir d’un mauvais pas un peu plus facilement.

Le seul hic avec CodeGuard consistera à sauvegarder votre base de données si vous travaillez sur un site dynamique. Sur ce point, il y a deux solutions. CodeGuard propose un outil pour effectuer un backup de MySQL mais ce dernier nécessite des droits d’accès par un serveur tiers. Si vous êtes sur un serveur mutualisé, vous n’aurez certainement pas le droit de le faire. La solution de contournement consiste à utiliser un script qui exporte régulièrement votre base de donnée dans un fichier sur votre hébergement. C’est moins réactif, mais CodeGuard sauvegardera les différentes versions directement en FTP.


Et hop, changement d’hébergeur ;-)

Je suis désolé, mais je viens de faire disparaître la page que vous consultiez le plus sur ce blog ces derniers temps ! Na !
Hein ?
Mais si ! Une grande page blanche avec marqué en gros « Error establishing a database connexion » !! Ah, vous voyez, ça vous revient.

J’ai eu beau me débattre dans tous les sens, je ne suis pas arrivé à faire descendre les appels de base de données à moins de 2 connexions par page affichée (et là j’étais super-fier en fait !). Mais OVH limitant mon plan d’hébergement à 10 connexions simultanées, même avec 2 connexions simultanées par page, il suffit de quelques visiteurs en même temps pour exploser le quota.

5 solutions s’offraient à moi :

  • l’achat d’une option « serveur SQL Privé » chez OVH à 7,18€ TTC par mois,
  • passer à un petit serveur dédié qui m’aurait permis de faire plein de trucs rigolos,
  • retourner sur DotClear (qui est vachement moins gourmand),
  • changer d’hébergeur,
  • sacrifier un girafon pour calmer mes nerfs.

Lire le billet »


WordPress : WPtouch 1.9.20 traduit en Français

La version 1.9.20 de WPtouch de BraveNewCode est la dernière version gratuite avant le passage à la version pro. Cette version est déjà internationalisée, donc prête à être traduite. Si vous l’avez installé, vous aurez remarqué la présence de la langue française dans le choix des options. Mais elle n’est pas fonctionnelle. En fait, il lui manque le dictionnaire de traductions.

Qu’à cela ne tienne. Le fichier de projet de traduction est présent et déjà très avancé par Maître Mo. La traduction livrée avec WPtouch date un peu et il manque quelques éléments de la dernière version.
J’ai donc refais un inventaire des sources et complété les éléments manquants (accessoirement corrigé quelques fautes de frappe au passage, oui Maître ;-))

Pour l’installation, il suffit de placer le fichier fr_FR.mo dans le répertoire suivant :

/wp-content/plugins/wptouch/lang

Si vous souhaitez faire joujou avec la traduction (voir ici comment traduire un plugin), vous trouverez le fichier de projet fr_FR.po actualisé dans l’archive.

Aller, au taf, je vous laisse télécharger la version française de WPtouch.
Vous me direz ce que vous en pensez 😉

Téléchargez les fichiers de traduction de WPtouch


SousLesToits Reloaded

Pot de peintureJe viens de réouvrir les commentaires, merci de votre patience 😉

Bon, au passage, j’en ai profité pour changer un tas d’autres trucs… En fait, j’en ai surtout profité pour changer de plate-forme de publication. C’est avec un grand regret que je quitte Dotclear2 pour WordPress. Non, je ne suis pas fier. J’aime beaucoup la manière dont est développé Dotclear, son efficacité, sa simplicité, sa juste précision (et son excellent Clearbricks). Je reviendrais certainement à Dotclear d’ici quelques temps. Pour l’heure, j’avais envie d’essayer autre chose, de me frotter à d’autres codes et… pour tout avouer… satisfaire un peu mon côté grosse feignasse en profitant des nombreux plugins disponibles !

Bref, tout ça pour dire : attention, la peinture est encore (très) fraîche. Je tente le « release early, release often » : je pose les bases le plus tôt possible et je continue à bosser sur les évolutions. Vous pourrez donc rencontrer quelques dysfonctionnements, des petites misères à droite à gauche, n’hésitez pas à me les signaler.

La première petite misère venant normalement de se produire : j’ai dû sauvagement pourrir vos lecteurs RSS, désolé.

Bonne lecture !
ps : Pour avoir voir toutes les modifications, je vous conseille un navigateur ultra récent, Chrome 7, Safari 5 ou une Beta de Firefox 4 😉

Illustration : cc Ray Franco Bouly.